Je suis révolté par l’échec des négociations pour la reprise de la Fonderie de Bretagne. Les salariés et la direction avaient prouvé qu’un avenir était possible, en modernisant l’outil de production et en diversifiant les activités.
Renault Group a tout fait pour faire échouer ces discussions. Une attitude inadmissible et inhumaine qui méprise les efforts des salariés et les millions d’euros déjà investis.
Et que dire de l’instabilité politique provoquée par la motion de censure en pleine négociation ? Ceux qui ont fait tomber le gouvernement doivent désormais répondre aux familles frappées de plein fouet.
Je suis pleinement solidaire des salariés et de leurs familles dans cette épreuve.